Lascension du Mont Blanc en elle-même peut se faire avec un guide style stage UCPA, mais ça dure 2/3 jours, ça coûte un bras (genre 1000€), bref pas ce que je vise! Par contre en faire le tour, là ça commence à m’intéresser! Pareil on peut suivre un groupe encadré et ne porter que son sac de la journée, le reste étant
Greg CARON nous partage son expérience de son ascension du Mont-Blanc Informations pour préparer l’ascension du Mont Blanc Date du projet Les 13, 14 et 15juin 2017 Lieu Le sommet du Mont Blanc, 4810m, Chamonix, Haute Savoie, France. Participants à l’ascension du Mont Blanc Greg et Flo, deux amis, alpinistes amateurs habitués à évoluer ensemble sur la même corde et la même longueur d’ondes. Où dormir durant l’ascension du Mont Blanc ? Au départ des Houches, de Chamonix, de Saint Gervais, les lieux de bivouac, les hôtels, les gites sont nombreux, mais pour notre part, nous avons choisi le bivouac sur le parking à Bionassay Saint Gervais la veille du départ, et nous avions réservé un Air B&B à Chamonix pour la nuit du retour. Pendant l’ascension nous avons profité des refuges de Tête Rousse 46,90 € le premier soir, et Le mythique refuge du Goûter 60€ pour le second. Pour ces refuges, la réservation est obligatoire. Refuge Tête Rousse Refuge du Goûter Où se restaurer ? Les refuges de tête rousse et du goûter proposent les repas et petits déjeuners, mais leur difficulté d’accès les oblige à se faire livrer par hélicoptère, du coup les tarifs des repas s’en font ressentir… pour Tête Rousse la bouteille d’eau coûte 6€, le repas complet 27€ et au refuge du goûter c’est un peu plus cher… Pour notre part, nous avons fait le choix d’emmener notre réchaud à gaz ainsi que des plats lyophilisés. Des Salle réchaud » étant accessibles gratuitement dans chacun des deux refuges, nous n’avions ainsi qu’à acheter de l’eau. Office de tourisme Office du tourisme de Chamonix Quoi d’autre dans les environs Le massif du mont blanc offre des possibilités illimitées dans énormément de domaines, que ce soit pour le tourisme, la culture, ou pour tous les sports de montagne, c’est pourquoi il est mondialement reconnu. Liens internet Pour les alpinistes souhaitant gravir par eux même le mont blanc, le site Objectif Mont-Blanc détaille toutes les étapes, du sac à dos à l’ascension en passant par la préparation physique. Il faut tout de même rappeler que cette ascension est l’affaire d’alpinistes, et non de randonneurs… Les dangers y sont multiples et je ne peux que vous recommander de vous faire accompagner par un guide professionnel. Retrouvez le film de notre ascension ici Deux tocards au sommet du Mont Blanc Naissance du projet Discussion d’un été Juillet 2016, une soirée arrosée, quelque part dans le nord de la France… Alors que nous discutons du projet que j’ai de repartir en trek en Laponie avec la Tarp Team en septembre qui arrive, un ami qui ne fait pas partie de l’aventure m’interpelle. Moi tu vois, ça m’ferait bien mal de dormir en tente sous la pluie, et marcher dans la forêt pendant 10 jours en portant un sac super lourd… Je vois vraiment pas pourquoi tu t’infliges ça ! » En amoureux de la nature que je suis, je tente de le convaincre des bienfaits de l’aventure, du grand air, etc… et on finit par tomber d’accord sur un point. Il aime la montagne… Rappelons le contexte de la discussion, éméchés que nous sommes, on se lance un défi Moi un jour je t’emmènerai randonner en montagne, et ça te plaira ! Lui ok, chiche, emmène-moi au sommet du mont blanc ! Un check là-dessus, le pari est lancé, en juin prochain on s’attaque au toit de l’Europe. Pour une réelle ascension Durant les jours suivants, les idées plus claires, je prends conscience de ma responsabilité. Alpiniste amateur, pas hyper expérimenté je viens de m’engager comme guide pour emmener mon pote qui n’a aucune connaissance de la montagne au sommet du mont blanc. Je décroche donc mon téléphone pour appeler mon ami et compagnon de cordée habituel, Flo qui, lui, saura me conseiller… Flo est super emballé, maintenant que je lui en ai parlé, il faut monter le projet, nous deux on y va. Par contre ne connaissant pas mon pote à l’origine du défi, il me laisse seul juge quant à savoir si on l’embarque ou non… Moi je sais que le gaillard est une force de la nature, il est fiable et n’a peur de rien. Mais il ne connait pas la montagne et il n’est pas du tout sportif… Ça craint, mais en un an, on peut lui forger une condition physique, et encordés à 3, on peut l’encadrer. Le délire dure un moment, un autre pote nous fait part de son souhait de participer, je leur envoie plein de vidéos pour leur faire prendre conscience de l’engagement nécessaire et des dangers réels qu’on va rencontrer… Et cela suffira à les décourager. Nous voilà donc à deux, Flo et moi, lancés dans la quête d’une nouvelle aventure ! Préparation à l’ascension Nous y voilà ! Le trek en Laponie est passé, la saison hivernale touche à sa fin, il est temps de se préparer pour gravir le toit de l’Europe. Ni Flo ni moi ne sommes des alpinistes confirmés, mais nous partons régulièrement pour des courses vers les 3000 des alpes du sud, en été comme en hiver, on sait utiliser les crampons, le piolet, et à nous deux, on accumule assez de connaissances sur les techniques de corde et la montagne pour que ce projet ait des chances d’aboutir. Nous sommes conscients des risques encourus, et une analyse détaillée des topos et autres retours d’expériences, nous permettra de les situer dans notre progression… Pour ce qui est du physique, on se fera chacun de son côté un petit programme d’affutage, à base de course à pied et d’arrêt du tabac pour ma part, mais on est déjà assez sportifs, ça ne nous inquiète pas plus que ça. Restent les congés… on habite à 1200km l’un de l’autre, on devra donc se rejoindre à Chamonix, mais le créneau que nous arrivons à nous trouver en commun est assez court, 4 jours. On peut déjà faire une croix sur les randos d’acclimatation à l’altitude… ça sera un aller-retour direct pour le sommet ! Ce qui multiplie nos chances d’abandon pour cause de MAM le Mal Aigu des Montagnes. Flo viendra à Chamonix en voiture pour me récupérer à la gare routière, pour moi c’est bus de nuit à l’aller / covoiturage au retour. L’ascension du Mont Blanc Après une horrible nuit dans un bus bondé en route pour l’Italie, je me retrouve à Chamonix, en jeans/T-shirt manches longues, par 35°C avec un énorme sac sur le dos et un deuxième sur le ventre. Flo est en retard, ce qui me laisse le temps d’aller louer mes crampons, boire une bière, faire des emplettes de souvenirs pour mon fiston, et même réserver une chambre pour le dernier soir sur Chamonix… Puis il arrive enfin, et nous reprenons la voiture direction le hameau de Bionassay, d’où nous avons prévu de démarrer l’ascension. Ce point de départ n’est pas le plus fréquemment utilisé pour attaquer la voie normale du Mont Blanc. En général, les alpinistes préfèrent emprunter le tramway du mont blanc qui les dépose à presque 2400m d’altitude, pile sur le bon itinéraire…. Mais pas de chance pour nous, il ne démarre sa saison que dans 3 jours… Alors pour nous, ce sera bivouac à Bionassay, et on démarrera de 1400m… Jour 1 une randonnée alpine et ferroviaire Départ de Bionassay Réveil de bonne heure dans la tente à Bionassay, on se fait un petit déjeuner bien copieux avec le gros réchaud à gaz de Flo qu’on laissera dans la voiture. On en profite pour s’alléger au maximum, et on y laisse tout ce qui n’est pas strictement nécessaire, puis on se met en route vers le parking du Crozat 1420m qui sera notre point de départ. Notre point de départ Le chemin démarre tranquillement vers le nid d’aigle, qui d’après les panneaux se trouve à 3h15 d’ici. La journée est radieuse, il fait frais, les conditions sont idéales, et les prévisions semblent rester au beau pour toute notre ascension. Le Glacier de Bionassay est visible au loin. On doit normalement longer son flanc gauche pour atteindre le Nid d’aigle ce qui représentera presque la moitié de notre première journée de marche. La montée au nid d’aigle par les rails En s’approchant du glacier on croise plusieurs panneaux nous indiquant que le chemin du nid d’aigle est fermé, ce qui ne nous pose pas de problème car nous sommes équipés de matériel d’alpinisme, il doit juste être fermé pour les randonneurs… Mais arrivés à un croisement, un choix s’impose à nous passer le ruban et poursuivre sur le chemin fermé, ou modifier notre itinéraire pour un détour de plus d’une heure par le plateau de Bellevue… Le truc c’est que notre itinéraire original nous fait emprunter des échelles et un pont. Que fera t’on si le chemin est fermé pour absence des échelles ou du pont ? Le détour serait alors énorme car il nous faudrait rebrousser chemin dans une heure avant de finalement faire le détour de Bellevue… Passage par le plateau de Bellevue Histoire d’assurer le coup, on ne tente pas le diable et on monte à Bellevue. Arrivés sur ce plateau, il ne nous reste qu’à suivre les rails du tramway. Ils montent directement au nid d’aigle, mais le tramway ne démarre sa saison dans 3 jours. La montée est interminable… Il n’y a rien de plus long que de longer des rails si longtemps. Heureusement le panorama est superbe ! On croise deux locomotives de maintenance qui font des allers-retours sur les voies pour vérifier leur fonctionnement avant l’ouverture. Bien évidemment, ils n’ont pas le droit de nous prendre en stop… Mais après deux tunnels, nous atteignons le Nid d’Aigle. Vue d’ensemble de notre point de départ au nid d’aigle Maintenant on attaque la montée vers la baraque des Rognes, une cabane en pierre à l’abandon où l’on a prévu de dormir pour économiser une nuitée en refuge payant à Tête Rousse. Du coup, on a pris les duvets, ce qui nous ajoute du poids… Un bouquetin sous Tête-Rousse Dans le pierrier qui mène aux rognes, on tombe sur une équipe sympathique de nordistes, en route aussi pour le sommet, ils sont accompagnés par deux guides qui n’ont pas eu les mêmes prévisions météo que nous, ils nous conseillent de monter à Tête Rousse ce soir pour tenter le sommet demain en doublant les étapes, parce que la météo se gâte dès la fin de journée … De toute façon, il est à peine midi, on arrive aux rognes, et on ne compte pas passer notre après-midi à glander sur une banquette de pierre, donc on choisit de pousser jusque Tête Rousse. L’ambiance y sera meilleure, on aura moins à parcourir demain, et cet après-midi on continue de marcher… Entre Rognes et Tête Rousse Dans la portion entre les Rognes et Tête Rousse, la piste se redresse, on commence à surplomber un peu de vide, et le paysage de haute montagne commence à se faire sentir. On croise nos premiers bouquetins, les premiers névés, quelques câbles fixes sécurisent des petits passages délicats, mais pour le moment, on n’a pas besoin de s’y assurer. Puis au sommet de l’arrête, on arrive sur le glacier, et le refuge de Tête Rousse apparait, suspendu au-dessus du vide. Le refuge de Tête Rousse D’ici, l’aiguille du goûter nous dévoile sa face ouest toute entière. On voit déjà le célèbre refuge dans lequel on dormira demain, le plus haut d’Europe, Il parait si proche ! On peut déjà lire toute notre ascension à venir, et même le redoutable couloir de la mort qu’il nous faudra traverser. De nombreux craquements se font entendre, ce sont des pierres et des rochers qui se fracassent en dévalant le couloir du goûter. C’est terrifiant pour demain ! Et de l’autre coté sur le glacier de Bionassay, ce sont carrément des explosions qui tranchent le silence de la montagne les ruptures de séracs. Vue de la terrasse du refuge Nous sommes en milieu d’après-midi, et notre journée de marche est terminée. Malgré le fait que nous n’ayons pas réservé, il reste de la place et la gardienne nous attribue nos couchettes. Le refuge est plein de vie, environ 60 personnes s’occupent, certains sont accoudés au bar, d’autres dans les couchettes, ou jouent à des jeux de société sur les tables du réfectoire. On ne regrette pas notre choix d’avoir poussé jusqu’ici. Repos et météo Le sujet de conversation est clairement orienté météo, les avis divergent, mais les plus pessimistes songent déjà à rentrer demain matin. Flo et moi décidons d’attendre de voir par nous même au réveil, mais pour le moment, on garde l’objectif en vue ! Le glacier de Bionassay, vu depuis Tête Rousse On discute une paire d’heures avec nos colocataires, on se fait une petite partie de scrabble. Puis on se fait à manger soupes en sachets, spaghetti, saucisson. En profitant de la salle à réchauds mise à notre disposition. Après un dernier tour dehors sur la corniche pour admirer le coucher du soleil, Il est 22h quand le refuge s’endort, tous remplis de doutes quant à la suite de notre ascension… Jour 2 l’escalade rocheuse et le couloir de la mort Tentative et météo Les prévisions ont tenu leurs promesses, et ce matin un nuage épais pèse sur le refuge. La vue est bouchée, on ne voit plus le Goûter, et beaucoup décident de plier bagage. D’autant qu’il est prévu d’empirer pour les 24h avec des orages à venir… on traine au petit dèj, mais finalement on décide de continuer. La face ouest de l’aiguille du Goûter, notre objectif du jour A 8h30, les crampons aux pieds, on attaque l’aiguille en direction du couloir. Pour l’heure, l’objectif n’est plus le sommet, la météo est trop incertaine pour se mettre ça en tête. De toute façon l’ascension finale n’est que demain. Si on atteint le refuge du goûter, ce sera déjà une victoire ;c’est notre objectif du jour. La trace est belle sur la pente du glacier de tête rousse qui monte vers l’accès au couloir. La difficulté majeure du jour. On croise des alpinistes qui descendent du Goûter, ils ont renoncé ce matin en voyant la météo, ils ont des mines dépitées. On n’est pas nombreux à partir dans le sens de la montée, presque tous les guides ont renoncé à amener leurs clients. Il ne reste que les autonomes, ainsi que deux de nos nordistes de la veille accompagnés par l’un des deux guides. Le panorama sur le glacier par une météo bouchée On profite de croiser du monde pour se renseigner sur l’état de la trace dans le couloir. Elle est belle et en neige, mais le câble qui sert de main courante est inaccessible, lui passe à une vingtaine de mètres de là au-dessus d’une ancienne trace bien pourrie. Le déversoir qui jette ses pierres sur la voie lui n’est plus en neige, et commence à mitrailler sévèrement… Danger imminent On y arrive, donc on s’encorde avant d’être dans la trajectoire des pierres… il ne faudra pas trainer… Juste devant nous, deux californiennes vont entamer la traversée, on leur promet d’ouvrir l’œil pour elles et de les avertir si ça bombarde. Et Bingo ! Ça bombarde. Alors qu’elles sont en plein milieu, je repère une pierre de la taille d’un grille-pain qui dévale la pente et qui s’apprête à couper leur trajectoire. Je hurle PIERRE ! Elles s’arrêtent pour la localiser, et le bloc passe à moins d’un mètre devant la première à la vitesse d’une fusée. Si elles ne s’étaient pas arrêtées, la première l’aurait prise dans les jambes, aurait glissé dans le précipice entrainant sa compagne de cordée avec elle… OUF ! Ça donne le ton pour notre traversée… on est calmés ! Les filles nous renvoient l’ascenseur et veillent pendant qu’on traverse. Pour nous ça passe sans encombre, encordés à deux avec 5m de distance, on gardera cette configuration pour l’escalade rocheuse qui suit, jusqu’aux derniers mètres où sont installés des câbles fixes. Cette traversée du couloir est terrible, car elle ne demande pas de compétences particulières, le danger y est aléatoire… il faut passer entre les pierres qui peuvent tomber sous la forme d’une pluie de caillou, ou sous la forme d’un frigo lancé d’un building… Le glacier de Tête Rousse vue de la montée au Goûter Une fois cette épreuve terminée, il faut grimper sur les rochers trempés vers l’aiguille du goûter tout là-haut… le nuage se dissipe suffisamment pour voir le refuge de ce soir, parfois il nous laisse apercevoir Tête rousse en dessous de nous, et par moments, de belles éclaircies nous permettent d’admirer le panorama tout entier. Ces trouées sont à couper le souffle ! Derniers pas avant l’arrivée au refuge L’escalade s’avère facile, malgré l’humidité, il suffit de longer l’arrête du couloir en visant tout droit vers le haut… La facilité nous donne une confiance dont il faut se méfier. Car c’est souvent les excès de confiance qui font faire l’erreur qui nous fera chuter… chuter ici n’est pas envisageable ; le vide derrière nous est de plusieurs centaines de mètres. Dans les arrêtes de l’aiguille du Goûter Sur le dernier quart de l’ascension, l’arrête devient un mur de blocs, des mains courantes en câble fixe sont installées. On range la corde et on sort nos longes pour s’assurer façon via-ferrata. Le manque d’oxygène commence à se faire sentir alors qu’on atteint l’ancien refuge et le sommet de l’aiguille. Le mythique refuge du goûter se trouve à la même altitude, une centaine de mètres plus loin à plat dans la neige. On vient de basculer dans un autre monde, celui de la haute montagne. Maintenant tout est recouvert par plusieurs mètres de neige. Le vent souffle de toutes ses forces alors qu’on savoure notre arrivée en marchant dans le vide sur le balcon métallique du refuge suspendu à flanc de falaise, à 3815m d’altitude. Flo atteint les câbles fixes Le refuge pouvant accueillir 120 personnes semble vide alors que nous ne sommes pas 40 à y séjourner. Quand je pense aux difficultés que j’avais eues à y réserver une place ! La météo a forcé beaucoup de monde à renoncer, nous nous retrouvons dans une ambiance cosy. On connait déjà presque tout le monde depuis hier, on retrouve nos amis nordistes, les californiennes, guides et quelques autonomes avec qui nous avons hésité ce matin. Aussi quelques acharnés ayant échoué avant le sommet aujourd’hui et souhaitent tenter à nouveau demain. En attente de la météo, la tempête Dehors, la tempête fait rage, une neige lourde d’humidité est soufflée par le vent venant d’en bas, c’est impressionnant. Il neige à l’envers, et rien ne laisse envisager une amélioration…. Les chanceux qui trouvent du réseau sont assis sur les hublots à l’intérieur du refuge pour consulter la météo. Toutes les demi-heures, l’un d’entre eux donne un avis différent sur la journée de demain… Tout le monde est perdu, personne ne sait si l’ascension sera possible. Surtout que le réveil est prévu à 2h du matin pour avoir le temps d’atteindre le sommet et redescendre à la voiture en une journée… demain soir, on doit dormir en chambre d’hôtes à Chamonix…. Le refuge du Goûter Flo et moi restons jusque 22h au bar avec les habitués, et on se couchera sans aucune certitude… impossible de trouver le sommeil dans cette excitation mélangée d’inquiétude ! Jour 3 le sommet… peut être ! Réveil difficile Départ pour le sommet Réveil à 2h, enfin… si on peut appeler ça un réveil, étant donné qu’on n’a pas dormi…. Le petit dèj est servi, la tempête fait rage dehors. On descend dans le sas pour se faire une raison. Là, deux cordées se préparent 3 italiens, et 6 ukrainiens. Ils veulent tenter de braver la tempête. Tous les autres retournent se coucher. Les dernières infos parlent d’une accalmie en début de journée avec un gros orage en fin d’après-midi… On programme donc notre réveil pour 6h, mais on veillera aux hublots l’évolution. L’aiguille du midi vue du Goûter Une heure plus tard, les ukrainiens reviennent. Tremblant de toute leur carcasse, ils sont bleus et enroulés dans des couvertures de survie. L’ascension s’arrêtera là pour eux. Nous ne reverrons jamais les italiens… Sont-ils redescendus à tête rousse? Se sont-ils abrités dans l’abri Vallot pour atteindre le sommet et redescendre ailleurs?… A notre retour, personne ne sera porté disparu, donc j’imagine que tout va bien pour eux. Une belle trace pour le départ Pour Flo et moi qui avons un timing serré, le réveil à 6h sera pour redescendre… on ne veut pas y croire… échouer ici à cause de la météo et du timing, c’est trop triste ! Ce soir on a une réservation à Chamonix qui est déjà payée. Mon retour en covoiturage de demain est aussi payé. Je reprends le boulot dans 3 jours, et avant je suis invité à une réception que je ne peux pas manquer… A 7h, on ne peut pas espérer atteindre le sommet et redescendre à la voiture dans la journée… Dans le sas tout le monde s’équipe pour la descente. Sauf un guide avec deux clients, une cordée de 8 russes, et les nordistes qui eux continuent. Indécisions poursuivre l’ascension ? Dehors, il fait beau, malgré un vent très fort. En fait, le refuge se trouve dans une trouée nuageuse, au-dessus c’est de la purée, en dessous aussi. Mais ce soleil ! Allez mon pote, on n’est pas venus jusqu’ici pour renoncer ! On se chauffe, tant pis pour nos réservations, ce soir si on dort une seconde nuit au goûter. Je pourrais me débrouiller à l’arrache pour trouver un moyen de rentrer dans le nord à temps pour mes projets… Flo lui est tranquille, il a sa voiture… alors c’est décidé, on continue ! Ascension du dôme du Goûter Au passage, on motive deux lyonnais qui allaient redescendre également, leur ascension, ils l’ont déjà tenté hier, et ils ont été pris dans un orage. Ils ont dû creuser deux trous dans la neige sur l’arrête des bosses pour s’abriter, ils ne veulent pas revivre cette expérience, mais comme nous, ils refusent cet échec. Quatre cordées s’élance donc vers le sommet, Flo et moi sommes plus longs à partir, vu que notre changement d’avis de dernière minute nous a retardé, on les suivra de loin… Dès la sortie du refuge, on est sur l’arrête du goûter. La vue est complètement bouchée côté saint Gervais, mais sur l’autre versant, c’est magnifique ! On voit Chamonix, l’aiguille du midi et tout le massif du Mont Blanc qu’on surplombe. On longe l’arrête en direction du dôme du goûter qu’il nous faudra monter. Un mélange de nuages et de neige projetée par le vent Vers le dôme du Goûter Dès le début du dôme, on entre dans le nuage. On ne voit plus rien autour de nous. C’est tout juste si je vois Flo qui est 10m devant moi, accroché sur ma corde. La montée en zigzag est raide et éprouvante. Le manque d’oxygène nous oblige à marcher d’un pas très lent et court. Une bonne heure plus tard, on croise les deux nordistes qui redescendent avec leur guide. Ils vont bien mais sont obligés de rentrer car ils sont astreints à un timing serré. Leur guide leur a permis d’atteindre les 4000m, mais ils doivent descendre… Ils nous encouragent, on les félicite, et c’est reparti. Les arêtes des bosses Très vite, alors qu’on atteint le toit du dôme, on double la cordée de russes qui avancent très lentement. Le ciel est toujours aussi bouché, et d’ici on est censés voir l’abri Vallot. Il est bien là, mais invisible dans la brume. Une grande plaque de glace vive à traverser en faisant bien attention de planter les crampons et le piolet solidement à chaque pas, et il apparait. C’est l’occasion d’une petite pause pour boire et manger nos sucreries, même si avec l’altitude. La faim ne se fait pas sentir. On repart en grande forme sur les arrêtes des bosses. Un trou sans fond dans la neige sur la trace nous prouve qu’il y a des crevasses sur l’itinéraire. Il faut être très prudent ! La surface est très étroite sur la crête qui monte jusque au sommet. Un vent très fort nous pousse latéralement vers le précipice. Des conditions difficiles C’est effrayant, nous avons raccourci l’encordement, il n’y a plus que 3 mètres de corde entre nous. Si l’un des deux glisse, l’autre devra sauter dans le vide du côté opposé pour qu’on soit suspendus par la corde chacun de notre côté… Espérons que cela ne se produise pas ! Le chemin parcouru La trace laissée par les deux cordées encore devant nous est déjà très estompée par le vent. On doit redoubler de vigilance dans ce peu de visibilité. Par moment, l’arrête s’élargit en corniches de neige très fragiles. On doit veiller à rester sur le fil de l’arrête pour que la neige ne se dérobe pas sous nos pieds dans une chute qui serait à coup sûr mortelle. Le ciel se dégage partiellement quand nous atteignons le rocher de la tournette ce qui nous permet de contempler le vide qui nous entoure, mais aussi d’apercevoir le sommet qui n’est plus très loin. Nous avons l’impression d’être dans l’espace tant le vide est oppressant ! Cette sensation est extraordinaire, elle est amplifiée par les nuages qui nous arrivent à toute allure, portés par le vent, pour se désintégrer sur notre arrête et se transformer en trainées blanches rapides en basculant de l’autre côté. Le ciel bleu et les nuages épais s’alternent à un rythme fou, c’est troublant ! Le chemin restant… L’euphorie nous emporte alors que le sommet tant convoité est à portée de vue. Les arrêtes sont toujours aussi effilées quand nous rejoignons une cordée de trois anglo-saxons qui semblent en grande difficulté. Ils souffrent clairement de l’altitude, l’un d’entre eux est couché dans la neige dans un état léthargique. Ils nous disent que tout va bien et qu’ils continuent l’ascension à leur rythme. Nous entreprenons un dépassement périlleux sur une arrête qui ne le permet pas. Enfin le sommet L’antécime du mont blanc se dresse devant nous. A seulement quelques mètres, et nous la prenons pour le sommet. ce n’est qu’en la grimpant que l’on s’aperçoit que le sommet est encore un peu plus loin. Quand y’en a plus, y’en a encore ! Un quart d’heure plus tard, nous atteignons enfin le sommet, où nous trouvons la cordée de 3 qui a ouvert la marche ce matin. Ainsi que nos deux lyonnais sympathiques avec qui nous célébrons l’exploit. Tous redescendent pour nous laisser l’endroit, et on restera seuls pendant près d’une heure sur le toit de l’Europe. C’est magique ! Ce matin on avait renoncé, et pourtant, ça y est ! Nous y sommes ! Une joie intense nous submerge. On passera notre heure seuls à contempler la mer de nuages qui s’étend sous nos pieds. Comme sur un petit ilot perdu dans un océan de nuages. On fait des photos avec nos proches sous pochette plastifiée qu’on a apporté dans le sac à dos. Puis le froid mordant nous appelle à redescendre. Le sommet du Mont Blanc Dès les premiers pas, on s’aperçoit que la descente est plus technique et plus vertigineuse que la montée. On croise rapidement les anglais et les russes qu’on a doublé dans la montée, ils y sont presque ! Le ciel se dégage, nous laissant profiter du panorama qui nous était interdit à l’aller. Le retour sera fait de contemplation. La descente sera juste merveilleuse, mise à part une grosse frayeur quand un dernier nuage nous fait nous perdre dans les pentes du dôme du goûter. Mais la carte et la boussole nous permettront de descendre dans la bonne direction et d’apercevoir le refuge. L’ascension du Mont Blanc prends fin ici Flo et Moi au sommet du Mont-Blanc Il est 17h quand nous retrouvons le refuge, héroïques. Tout le monde nous questionne, nous demande des conseils, on a basculé de l’autre côté ! Le refuge est bondé, et demain les conditions seront meilleures. Aujourd’hui, nous ne sommes que 5 cordées à avoir atteint le sommet, demain il risque d’y avoir plus de monde. On profite d’une seconde nuitée ici. Le lendemain, je parviendrais in extremis à trouver un covoiturage pour être à l’heure à ma réception et reprendre ma vie dans le plat pays du Nord. Matériel utilisé pour cette ascension du Mont Blanc Vêtements utilisés pour cette ascension au Mont Blanc CATÉGORIE NOM DU MODÈLE MARQUE POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODÈLE AU DÉPART EST CE QUE CE CHOIX A RÉPONDU À CETTE EXPÉRIENCE RACONTÉ DANS CE ROADBOOK SI C’ÉTAIT À REFAIRE CHAUSSURES Nepal extrem LA SPORTIVA Rigide, tige haute, cramponnable Oui à 100% Je reloue les mêmes VESTE Alpine project THE NORTH FACE Vraiment isolante du vent et de la pluie Oui, à 100% Je garde Goretex active PANTALON LD grepon alpine pant MILLET Déperlant, respirant et isolant Oui, couplé au sous pantalon Je garde POLAIRE Gordon lyons THE NORTH FACE Chaud, zip ¼ permet d’évacuer la chaleur Oui, à 100% Je garde DOUDOUNE Summit series THE NORTH FACE Très chaude Oui à 100% Je garde SOUS PANTALON flowfit WED’ZE Permet de gagner quelques degrés Oui, à 100% Je garde MAILLOT ML respirant MILLET Couche supplémentaire Très bien Je garde T-SHIRT respirant MILLET Première couche respirant qui sèche vite Très bien Je garde TOUR DE COU polaire BUFF Sert de cache nez, bandeau, cagoule…. Très bien Je garde GANTS De ski REUSH Pour ne pas perdre mes doigts… top Je garde BONNET ?? O’NEILL c’est mon bonnet habituel en ville/au ski… RAS Je garde Matériel d’alpinisme cette ascension du Mont Blanc CRAMPONS 12 pointes GRIVEL Indispensable pour le mont blanc RAS Je garde PIOLET 80cm SIMOND idem Sa longueur permet de l’utiliser aussi comme canne Je garde CASQUE Helios PETZL idem Oui à 100% Je garde BAUDRIER Adjama PETZL Baudrier classique Très bien Je garde CORDE 40m BEAL Encordement pour glacier et course d’arêtes Très bien Je garde LONGES Y 3 m de corde noué en tête d’alouette au pontet SIMOND Pas très safe, mais achat de dernière minute… C’est mieux que rien pour se longer sur câble fixe Je recommande vivement une longe avec absorbeur de choques Matériel essentiel pour cette ascension du Mont Blanc SAC À DOS Atacama 58+10 MILLET Pour le volume qu’il offre, et le confort à porter Répond parfaitement à ces attentes Je le garde malgré son poids un peu trop élevé 2kg DUVET Moonlight LAFUMA Pour dormir dans la cabane des rognes On a dormi en refuge Inutile, les refuges sont équipés de couvertures LUNETTES Categorie 3 JULBO Indispensable dans la neige Très bien Je garde FRONTALE 120 lumens BLACK DIAMOND Pour les départs à la fraiche Très bien Pas utilisé car départ tardif BOUSSOLE DT200 RECTA Orientable, règle à échelle, plaquette transparente Parfait Nous a sauvés sur le retour
STAGEASCENSION du MONT-BLANC avec un GUIDE. 5 jours pour gravir le sommet du Mont-Blanc, le plus beau sommet des Alpes. Réaliser l'ascension du Mont-Blanc ce n'est pas
Que ce soit par la voie normale ou par la traversée des 3 Monts, l'ascension du Mont-Blanc demande de pouvoir supporter un effort de longue durée, de 8 à 12 h. C'est souvent à la descente que les muscles des jambes se raidissent si l'entraînement n'a pas été suffisant. Préparation physique La préparation physique plusieurs semaines à l'avance peut se faire par des randonnées de difficultés progressives, si vous êtes dans un milieu de montagne. Il faut être capable d'effectuer un dénivelé de 1500 m aller et retour sans souffrir. En plaine, le vélo et la course à pied travaillent le souffle, mais rien ne vaut d'effectuer du dénivelé, à pied, en courant ou à vélo, pour travailler cuisses et fessiers. Effectuer 2 fois par semaine un tel effort de 3 h minimum, durant plusieurs mois, constituera déjà une préparation personnes utilisent leur environnement, même urbain, avec efficacité en vue d'effectuer l'ascension du Mont-Blanc un grand escalier à Lyon, Paris peut déjà constituer une bonne préparation. Dans le Nord, certains de nos participants utilisent les terrils, pour se fortifier les cuisses et même pratiquer le cramponnage... et ça marche ! On peut très bien s'entrainer sur un dénivelé de 100 m si celui-ci est répété. Certains parcours loin des montagnes sont ainsi connus pour être de bons entrainements citons le sentier Batier au sud de Dijon, le circuit des 25 bosses en forêt de Fontainebleau, Les Calanques, etc. Acclimatation Si la préparation peut et doit se faire longtemps à l'avance, la résistance à l'altitude demande d'être acclimaté 15 jours à l'avance, il faut donc monter progressivement en altitude 1500 à 3000 m par des randonnées et séjours répétés. Une ascension préalable d'un sommet de 3500 m avec une nuit à plus de 2500 m est idéale en fin d'acclimatation, seulement quelques jours avant de tenter le Mont-Blanc. Cette acclimatation est meilleure mais demande d'avoir du temps, ce qui fait parfois défaut. Une méthode plus brutale mais relativement efficace consiste à monter en altitude très peu de temps avant l'ascension, et d'y rester au moins 24 heures, pour donner une sorte de choc physiologique à l'organisme après un court repos un ou 2 jours maxi, la remontée en altitude sera en principe mieux tolérée. Dans ce cas il est bien de prévoir un refuge confortable, pas trop loin de remontées mécaniques, et de surveiller ses réactions car le mal aigu des montagnes MAM est possible. Les refuges de Cita di Mantova au Mont-Rose, de Torino, des Cosmiques dans le massif du Mont-Blanc avec des altitudes supérieures à 3300 m se prêtent bien à ce type de que soient vos réactions à l'altitude, détendez-vous vous serez mieux oxygénés. Privilégiez le temps et une préparaton sérieuse à la prise de médicaments préventifs tels que Diamox ou Viagra qui pourraient fausser vos réactions. Expérience alpine Beaucoup tentent le Mont-Blanc sans expérience, et parfois le réussissent. C'est pourquoi ce sommet à la réputation d'être "facile". Pourtant les conditions de la montagne peuvent rendre certains passages très verglacés, et l'arête finale est aigue une expérience des techniques d'alpinisme permet d'augmenter sa marge de sécurité et donc ses chances de réussite. L'ascension se fait en général l'été de juin à fin septembre, période d'ouverture des refuges. Suivant les conditions l'ascension peut encore être agréable en octobre. Les stages organisés par les guides de haute-montagne permettent d'optimiser l'acclimatation, et surtout d'apporter un minimum de compétences techniques aux débutants. En général 3 jours de préparation finale sont nécessaires. Ascensions avec guide dans le massif du Mont-Blanc
Stageencadré par Bernard Muller, un des guides de haute montagne français les plus renommés. Ascension du mont Blanc à 4 810 mètres, un des sommets les plus mythiques de la planète. Deux jours de révision des bases de l’alpinisme et de la haute montagne pour plus d’autonomie. En petits groupes de 1 à 2 participants. Descriptif.

Stage Mont-Blanc Alta-Via Mont-Blanc Saint-Gervais 4810 m 5 jours Préparation altitude 2 jours Mont‑Blanc 3 jours Avec plus de 30 ans de pratique du Mont-Blanc depuis St Gervais par plusieurs itinéraires, Alta-Via propose le stage de 5 jours qui lui parait le plus cohérent pour la réussite de ce projet. Alta-Via propose une vraie préparation formatrice entre 3200 et 3600 mètres d’altitude, très utile pour vous rassurer, faciliter la sécurité et votre confort pendant l’ascension, tester et améliorer autant que possible vos réactions à l’altitude avec un séjour préalable de près de 30 heures au-delà de 3300 m. Avant d’entreprendre ce stage de 5 jours il est fortement recommandé d’avoir réalisé l’été d’avant ou quelques semaines avant une découverte de l’alpinisme sur des sommets de 4000 plus faciles, par exemple dans le Parc National du Grand Paradis ou sur les Sommets du Mont-RoseCette préparation n’est pas faite pour vous tester physiquement, nous gardons vos forces pour votre projet, le Mont-Blanc ! Nous aurons néanmoins un bon aperçu de vos capacités à réaliser l’ascension dans de bonnes conditions et pourrons vous proposer des solutions alternatives selon nos observations. Directement enchainé avec la préparation, l’ascension du Mont-Blanc en 3 jours permet à la fois une bonne répartition des étapes et des options supplémentaires selon la météo et selon les dangers objectifs du moment, en particulier pour la traversée du couloir du Goûter. Stage Mont-Blanc Alta-Via5 jours Préparation altitude 2 jours Mont‑Blanc 3 jours Les points forts de ce stage - pas de grands groupes, seulement des cordées de 1 ou 2 participants avec un guide pendant les 5 jours, c’est la solution pour une préparation adaptée se déroulant en altitude. - Préparation très complète et efficace, en altitude, dans un secteur glaciaire magnifique, orientée 100% sur votre objectif, le Mont-Blanc par le Goûter. - Nuit au refuge du Nid d’Aigle sauf en 2023 où le Nid d’Aigle sera fermé pour travaux pour monter au refuge du Goûter à la bonne heure. - Ascension du Mont-Blanc en 3 jours, tout en souplesse. - Des guides aux qualités humaines reconnues, de l’équipe Alta-Via. Pas de guide taxi chez nous. - Report de l’ascension en cas de météo ou conditions défavorables ou autre 4000 en vallée d’Aoste. PROGRAMME AU JOUR LE JOUR Jour 1 Skyway - refuge Torino Apprentissage et ascensions alentoursTransfert avec votre véhicule du côté italien du tunnel du Mont-Blanc. Accès au refuge Torino avec le téléphérique du Skyway. Evolution sur glacier neige/glace, évolution en terrain mixte rocher/neige avec crampons, apprentissage de la marche en cordée. Programme souple suivant les capacités de la cordée, les conditions de la montagne et la forme effective des particpiants. Généralement ascension ou traversée de l’Aiguille de Toule, 3538 m, ou de l’aiguille d’Entrèves, 3604 m, et/ou arête de la Vierge ou petit Flambeau. Nuit au refuge Torino, 3375 m.+400 à 700 m. Niveau F à PD+. 5-6 h de marche et d’alpinismeJour 2 Skyway - refuge Torino Aiguilles Marbrées retour à Chamonix Montée au 1er refuge du Mont-Blanc Nid d’Aigle 2400 m en 2022, Tête Rousse 3167 m en 2023Lever à l’aube pour bénéficier de bonnes conditions. Programme suivant les réalisations de la veille et les conditions de la montagne. En général ascension ou traversée des Aiguilles Marbrées. Retour en fin de matinée en téléphérique dans la vallée puis retour à Chamonix par le tunnel du Mont-Blanc. Repas debriefing/briefing avec le guide. Départ vers le Mont-Blanc depuis les Houches avec téléphérique de Bellevue 1800 m, puis avec le TMB tramway du Mont-Blanc jusqu’au terminus du Nid d’Aigle à 2372 m. 2022 de là en 15 minutes de marche au petit refuge du Nid d’Aigle, 2400 m, pour passer la nuit. Ce refuge ferme le 18 septembre 2022 et restera fermé toute l’année 2023 pour de là en 2h30 montée au glacier de Tête Rousse avec plusieurs passages exposés et équipés de câbles que l’on traverse facilement pour atteindre le refuge de la Tête Rousse à 3167 mètres. Utilisation des crampons et de la corde suivant les conditions. Nuit en dortoir au refuge de Tête Rousse 3167 m.+/- 400 m le matin, +800 m l’après-midi en 2023. Niveau F à PD+. 6-8 h de marche et d’alpinismeJour 3 Refuge du Goûter 3835 mDépart à l’aube en 2022 par les Rognes puis le glacier de Tête Rousse 3167 m pour l’ascension l’aiguille du Goûter, le passage technique de la journée, avec la traversée du grand couloir. Suivent des passages en rochers raides, par endroit équipés de câbles, parfois secs, parfois en neige, parfois verglacés. Utilisation des crampons suivant les conditions. Nuit en dortoir au refuge du Goûter, 3835 +1450 m. 5 heures de marche et d’ +700 m, 3 heures l’ 4 Mont-Blanc, 4810 m - refuge du Goûter, 3835 mHoraire de lever suivant les prévisions météorologiques, entre 2 heures et 7 heures, puis départ encordés en crampons, d’abord par des pentes glaciaires moyennement redressées jusqu’au Dôme du Goûter, 4304 m, et au refuge-bivouac Vallot, 4362 m, puis par l’arête des Bosses, étroite et parfois cornichée et crevassée, jusqu’au toit des Alpes, 4810 m. Descente par le même itinéraire jusqu’au refuge du en dortoir au refuge du Goûter, 3835 m.+/- 1100 m, 6-7h d’alpinismeJour 5 Descente du refuge du Goûter - Saint-GervaisLever à l’aube pour redescendre le raide versant ouest sous le refuge du Goûter, puis l’itinéraire, très escarpé au départ, entre Tête-Rousse et le Nid d’Aigle. Descente à Bellevue avec tramway du Mont-Blanc ou à pied quand il ne fonctionne pas les pannes ne sont pas rares, puis en téléphérique jusqu’aux Houches. Séparation aux Houches en milieu de m. 4 heures d’alpinisme et de marcheLe programme reste indicatif, le ou les guides encadrant ce séjour pourront être amenés à modifier celui-ci en fonction des conditions météorologiques, des conditions de la montagne et de la forme effective des participants. NIVEAU REQUIS Une très bonne santé et une excellente condition physique sont requises. L’expérience de l’alpinisme, de la marche en crampons encordés est très conseillée, mais la pratique de la randonnée alpine est indispensable, même pour les gens très sportifs. Une expérience de ses réactions à l’altitude est recommandée, elle sera un plus pour la réussite de votre projet. Etapes éprouvantes, dans un environnement difficile, du fait de l’altitude et de conditions climatiques parfois extrêmes, même en plein sur la préparation physique Avant t’entreprendre ce stage de 5 jours il est fortement recommandé d’avoir réalisé l’été d’avant ou quelques semaines avant une découverte de l’alpinisme sur des sommets de 4000 plus faciles, par exemple dans le Parc National du Grand Paradis ou sur les Sommets du Mont-Rose Tarif par personne2022 & 2023 Avec un guide en privéAvec un guide juste pour vous seul ou avec vos proches ou entre amis. Vous choisissez vos dates. 2474 € par 😎 si vous êtes 2 ou 4 2950 € par 😎 si vous êtes 3 4220 € si vous êtes seul avec le guide Dates de juin à mi septembreRéservations ouvertes pour l’été 2023 Pourquoi un stage ? Il ne s’agit pas d’un programme d’entrainement physique, même si nous vérifions un peu vos capacités pendant la préparation. L’entrainement physique se fait plusieurs mois à l’avance. C’est à vous d’être bien entrainé, sans concession, certaines personnes sous-estiment la difficulté et la longueur de l’ascension, pensent être prêts et doivent faire demi-tour. Cela entraine parfois un peu de frustration, autant pour nos participants que pour nos guides encadrants, qui espèrent toujours la réussite. Effectuer un stage permet de mieux se connaître, de vous former aux techniques de base ce qui garantit une meilleure expérience de l’ascension, une sécurité augmentée et plus de plaisir. De plus l’accommodation à l’altitude pendant la préparation, bien que réduite à minima il faudrait au moins 10 jours et elle se fait en seulement 2 jours, augmente vraiment les taux de réussite, en diminuant le risque de MAM et l’inconfort lié à l’altitude. Passer plus de 24 heures à 3200-3600 mètres crée un choc à l’altitude, très bénéfique. ENCADREMENT par un guide de haute montagne Maximum 2 personnes par guide HÉBERGEMENT En dortoir de refuge de haute-montagne gardé aux installations sanitaires sommaires RENDEZ-VOUS Chez Alta-Via à Saint Gervais la veille à 18h30 Le premier jour du stage, à 8h00 devant le téléphérique de Bellevue aux Houches, vallée de Chamonix LISTE INDICATIVE DU MATÉRIEL Matériel utile et conseillé Raid glaciaire - alpinisme d’été exemples en images Carte d’identité Carte Vitale Carte européenne de maladie Assurance assistance téléphone et n° de contrat si assurance hors Alta-Via * = disponible en location dans le kit classique et le kit élargi * Chaussures de haute montagne semi-rigides * Crampons avec anti-bottes adaptés et réglés aux chaussures de montagne * Baudrier avec longe + mousqueton de sécurité * Piolet d’alpinisme * Casque d’alpinisme ou d’escalade ** = disponible en location dans le kit élargi ** Bâtons télescopiques de marche 1 ou 2 ** Guêtres ** Sac à dos environ 25-35 litres avec fixations pour le piolet ** Lampe frontale légère Lunettes de glacier classe 4 recommandée Masque de ski pour les sommets à plus de 4000 mètres Gros gants chauds imperméables + petits gants en fibre synthétique ou cuir Bonnet chaud Tour de cou Casquette ou bob Pantalon de montagne épais déperlant ou pantalon fin + collant Sur pantalon étanche au vent et à la pluie Pull-over chaud ou veste en fibre polaire ou veste soft-shell Veste doudoune fine et légère pour les sommets à plus de 4000 mètres ou par grand froid Veste fonctionnelle étanche à la pluie et au vent avec capuche enveloppante Tee-shirt / chemise à manches longues technique et respirant Chaussettes de montagne techniques Crème solaire + Crème de protection pour les lèvres Bandes adhésives prévention des ampoules Médicaments personnels Papier toilette / mouchoirs en papier / lingettes Gourde ou Thermos ou poche à eau suivant froid et altitude Vivres de course barres de céréales, énergétiques ou chocolatées, fruits secsSac plastique pour protéger les effets dans le sac en cas de pluie Pour le refuge, un kit de toilette le plus léger possible petite brosse à dent, mini tube dentifrice, serviette compacte en microfibres Drap-sac de couchage existe en soie 110g, polyester 260g, coton 400g ou en laine 400g pour dormir dans les couvertures ou couettes des refuges Protection d’oreiller un simple carré de tissu ou linge léger suffit, ou un pull/veste/tee-shirt Sous-vêtements de rechange à limiter pour raison de poids du sac ASSURANCES OBLIGATOIRES OU FACULTATIVES Alta-Via ne saurait se substituer à la responsabilité civile individuelle de chacun. Il est donc indispensable de posséder une assurance en responsabilité civile pour participer à nos séjours et voyages. Il est fortement conseillé de posséder une assurance couvrant les frais d'annulation, perte ou vol de bagages et interruption de voyage. Il est obligatoire d’être couvert en assistance, rapatriement, recherche et secours pour participer à nos séjours et voyages il appartient au participant de vérifier, en préalable à son inscription, les risques pour lesquels il est déjà couvert. ASSURANCES PROPOSÉES PAR ALTA-VIA Inscription Demande

Sited'informations dédié à l'ascension du Mont Blanc. L’apprentissage de la montagne et de ses techniques commence sur des parcours progressifs, avec un guide de haute montagne ou une
Comment ça se passe ? Le Mont-Blanc est une course d’alpinisme en haute montagne qui est accessible à toute personne en bonne santé et sportive. L’ascension nécessite d’une part une bonne préparation physique, une acclimatation à l’altitude et d’autre part une bonne connaissance et maîtrise des techniques alpines et des règles de sécurité. Les personnes néophytes en matière d’alpinisme ou peu expérimentées doivent absolument s’entourer des services d’un guide. Ce dernier assurera la sécurité de la cordée, choisira le meilleur itinéraire en fonction des conditions de la montagne, évaluera la réalité de conditions et sera capable de trouver les réponses face aux difficultés difficultés techniques, arrivée du mauvais temps, gestion du rythme et du stress…. Partir avec un guide combien ça coûte ? L’ascension du Mont-Blanc est tarifée et les Compagnies de Guides seront à même de vous communiquer ces tarifs. Un guide part avec 2 clients maximum. Les professionnels proposent des stages de préparation Mont-Blanc sur plusieurs jours qui permettent d’optimiser les chances d’arriver au sommet. Ecole de glace, ascension d’un quatre mille précèdent l’ascension proprement dite. Quel itinéraire choisir ? Au départ de la Vallée, trois itinéraires peuvent vous permettre de rejoindre le sommet du Mont- Blanc avec des difficultés techniques et des dangers objectifs différents. Le choix de l’itinéraire doit être fait, bien entendu, en fonction de votre niveau technique mais bien évidemment en fonction des conditions des itinéraires et des éventuelles difficultés ponctuelles. A quelle période prévoir l’ascension ? En saison estivale, la période favorable s’étend de juin à septembre les refuges sont ouverts et gardés, les remontées mécaniques fonctionnent les dates officielles d’ouverture sont en ligne sur notre site l’ascension est donc plus confortable » mais les itinéraires sont vite encombrés. A partir de la mi-septembre, la montagne retrouve petit à petit son calme et est vite délaissée dès lors que les remontées mécaniques sont fermées et les refuges non gardés. Pour une ascension à skis, la période se situe généralement à partir du mois de mars jusqu’au mois de mai. Ce seront ensuite les conditions météorologiques qui détermineront le meilleur créneau pour tenter l’ascension. Combien de jours faut-il prévoir pour l’ascension ? Quel que soit l’itinéraire envisagé, l’ascension du Mont-Blanc nécessite 2 jours 1er jour la montée au refuge - 2ème jour l’ascension et la descente à ne pas négliger ! Il est tout à fait envisageable d’aborder l’itinéraire sur un créneau de 3 jours pour s’économiser physiquement à la montée ou à la descente. Cette ascension est exigeante physiquement et ne doit pas devenir un calvaire » Puis-je aller seul au Mont-Blanc ? Aller au Mont-Blanc, ce n’est pas suivre facilement un bon chemin derrière une cordée. C’est évoluer sur un terrain de haute montagne glaciaire sur lequel toute faute de cramponnage, tout dévissage ou toute chute en crevasse il y a des crevasses sur la trace ! peuvent être fatales. Quand et comment réserver les refuges ? Les réservations sont obligatoires et il est nécessaire de respecter le protocole mis en place par chaque refuge voir notre site internet. Ne tentez pas de monter quand le refuge affiche complet pour des raisons de sécurité, les gardiens ne pourront pas vous accueillir. Attention toute forme de camping, y compris le bivouac, sont interdits sur la voie normale du site classé du Mont-Blanc. L’abri Vallot n’est pas un refuge, c’est un abri de secours et non pas une base de départ pour le Mont-Blanc. Vous passerez une très mauvaise nuit altitude, insalubrité ! A partir de quel âge et jusqu’à quel âge peut-on tenter l’ascension ? A partir de 16 ans, des adolescents très sportifs, entraînés et très motivés peuvent entreprendre l’ascension. Il est cependant conseillé que ces jeunes aient déjà gravi des sommets d’altitude plus raisonnable 4000 m. Il n’y a pas de limite d’âge » des personnes de 70 ans ont atteint le sommet c’est avant tout l’état de santé et la forme physique qui détermineront la possibilité de tenter l’ascension. Qu’est-ce que le MAM ? Le Mal Aigu des Montagnes survient, le plus souvent, après quelques heures à une altitude supérieure à 3000 m et est le signe d’un manque d’acclimatation. Il se caractérise par des maux de tête, une perte d’appétit, des nausées, un état de fatigue anormal. Si ces symptômes persistent et s’amplifient au cours de l’ascension en engendrant une perte du potentiel physique, il ne faut pas hésiter à faire demi-tour le MAM s’atténue puis disparait avec la perte d’altitude. Toutes les personnes ne sont pas égales devant la survenue du MAM. La sensibilité de certains à l’altitude peut se manifester dès les 2000 / 2500 m et imposent alors une descente immédiate. L’ IFREMMONT Institut de formation et de recherche en Médecine de Montagne basé au Centre Hospitalier de Chamonix peut répondre à vos questions. Quelles sont les contre-indications à l’ascension du Mont-Blanc ? En dehors d’une contre-indication formelle de votre médecin, des affections temporaires affection fébrile, infection, grossesse, âge…. doivent inciter à reporter l’ascension. Quels dangers vais-je rencontrer sur l’itinéraire ? La plupart des dangers sont des dangers objectifs inhérents à la haute montagne ponts fragiles, risque de chute de séracs, de chutes de pierres, d’avalanches, arrivée du mauvais temps perte d’orientation etc. L’exposition à ces dangers peut être réduite avec la connaissance du milieu. Le repérage des zones à risques donc le bon comportement pour limiter l’exposition, le respect des horaires de course, le demi-tour arrivée du mauvais temps, le renoncement à la course mauvaises conditions permettront d’envisager l’ascension avec un maximum de sécurité. Une cordée peut se mettre elle-même en danger par son manque d’expérience technique ou mettre en danger une autre cordée qui la suit ou la croise. Le Mont-Blanc n’est pas un sommet banal et c’est une des raisons pour laquelle il est si convoité. Un certain nombre de personnes ne pratiqueront l’alpinisme qu’une seule fois dans leur vie en tentant de gravir le sommet. Alors, le Mont-Blanc oui ! Mais pas n’importe comment !

CarteIGN : TOP 25 - 3630 OT Chamonix massif du Mont Blanc; Altitude minimale : départ de l’Aiguille du Midi à 3842m et descente au Col du Midi à 3532m.Les 310m de descente devront être remontés au retour. Dénivelé cumulé : 1026 mètres; Altitude maximale : 4248 mètres; Distance (A/R) : environ 8 km Balisage : aucun balisage; Horaires : Comptez 4 heures de

Dans le massif du même nom, le Mont Blanc est le plus haut sommet de France et en Europe occidentale. Il culmine en effet à plus de 4808 mètres d’altitude, depuis sa première ascension en 1786 par Jacques Balmat et Michel Paccard, bien des alpinistes ont tenté de le franchir. Aujourd’hui son ascension est envisageable pour le commun des mortels. A condition d’être bien préparé, aussi bien sur le plan logistique que physique. C’est dans cette optique qu’on va vous présenter les différentes informations que vous devez connaître pour réussir l’ascension du Mont Blanc. Organisation Pour organiser votre ascension deux choix s’offrent à vous, le premier est de faire l’organisation en autonomie. Cette méthode peut permettre des économies si vous avez de grandes connaissances du milieu. La deuxième méthode consiste à faire appel à une agence en ligne de séjours comme Kazaden pour gravir le mont blanc. Cette méthode qu’on recommande vous permettra d’organiser votre ascension en sérénité. Ces entreprises proposent des ascensions avec un guide personnel ou non, de 3 à 7 jours et avec des tarifs compris entre 750 et 2300 €. Vous bénéficierez ainsi d’une forte expérience et expertise, vous permettant de maximiser vos chances de réussir l’ascension. De plus vous pourrez profiter d’une expérience atypique, respectueuse de l’environnement et dans le pur respect des acteurs professionnels ou non du milieu de l’alpinisme. Préparatifs Comme tout évènement de grande ampleur, une ascension, et encore plus celle du Mont Blanc demande énormément de préparatifs afin d’être faite dans de bonnes conditions. Le premier plan sur lequel il faut se préparer est le plan physique. L’ascension du Mont Blanc en chiffres représente 2500 mètres de dénivelé et un total d’une dizaine d’heures d’ascension. En général réparties sur un minimum de 3 jours. A cela, il faudra ajouter la raréfaction de l’oxygène en altitude. Avec une bonne préparation physique, cet exercice peut être surmonté. Il est ainsi recommandé par les experts de s’entrainer à des exercices de cardio course, nage au moins 3 fois par semaine, pendant les 4 mois qui précèdent l’ascension. En ce qui concerne l’équipement, il faudra vous armer d’une panoplie complète d’alpinisme. Celle-ci passe par des vêtements Des sous-vêtements respirants à la cagoule. Elle passe également par du matériel plus technique, comme un sac d’alpinisme, des crampons, un piolet, des bâtons ou même un dispositif de détection des victimes d’avalanche comme l’ARVA. En plus du coût de l’ascension, il ne faut pas négliger le coût de l’équipement. Un équipement complet vêtements et équipements techniques peut coûter des milliers d’euros. Il est ainsi recommandé d’acheter petit à petit les différents objets nécessaires à votre ascension. Pour vous rendre au Mont Blanc, il faudra avant tout vous rendre à la ville de Chamonix, située à proximité. Celle-ci est accessible de différentes manières Par avion via l’aéroport international de Genève à 88 km de train via la Gare SNCF Le Mont Blanc Express »Par la route via l’autoroute A40 depuis la France, l’autoroute jusqu’à Martigny depuis la Suisse et le tunnel du Mont-Blanc depuis l’Italie. Itinéraire En termes d’itinéraires, plusieurs options s’offrent à vous, de la voie royale à la voie normale en passant par la voie des 3 Monts Blancs, tout dépendra de vos choix et de ceux de votre guide. Peu importe l’itinéraire choisi, vous passerez très probablement par un des deux refuges emblématiques du Mont Blanc. Le premier et le plus célèbre, est le refuge du Gouter. Le refuge du Gouter se situe non loin du Dôme du Gouter. Celui-ci porte ce nom car le soleil passe au-dessus aux alentours de 16h, depuis Chamonix. Le refuge du Gouter est une construction moderne sur 4 étages. Culminant à 3835 mètres d’altitude, c’est un des plus hauts refuges d’Europe de l’Ouest. Créé en 1859 et entièrement rénové en 2010, il est capable d’accueillir 120 alpinistes. Le second refuge emblématique est le refuge de Tête Rousse. Siégeant à 3167 mètres d’altitude, il possède une capacité d’accueil maximale de 74 couchages. Il porte le nom du Glacier de Tête Rousse situé à proximité. La période de gardiennage s’étend du 29 Mai au 28 Septembre. Conseils Pour conclure notre article, on va vous fournir quelques conseils simples, pour maximiser vos chances de réussir une ascension du Mont Blanc Le premier conseil est de mettre les bouchées doubles sur votre préparation physique. En effet, la majorité des interventions de secours sur le site sont dues à une second conseil est de vous préparer à être dans un environnement faible en oxygène, idéalement en altitude, afin de limiter le mal de la montagne et de favoriser l’ faudra être attentif à la météo et aux conseils de votre guide. Il est parfois nécessaire de reporter ou d’annuler l’ascension à cause d’un changement brutal de climat. La frustration ressentie n’étant rien à côté du fait de prendre des un stage d’alpinisme les mois avant votre ascension, ainsi vous pourrez vous familiariser aux techniques et habitudes nécessaires pour réussir votre ascension.
Participantsà l’ascension du Mont-blanc par l’intégrale de l’innominata: Pol. Phablo (le rédacteur) Pol et moi avons pas mal fait d’alpinisme et de voie de TA ensemble au cours de l’été. Nous souhaitons tous les deux passer le probatoire d’aspirant guide en 2015.
Ascension du Mont Blanc 4810 m. Le plus haut sommet d'europe entre l'Italie et la France représente l'apogée d'une chaîne de montagnes seulement 18 km de développement, mais extrêmement sévère et parsemée de nombreux sommets de plus de 4000 m. Le sommet du Mont Blanc a une grande couche de glace sur le versant Nord, côté français, qui descend à basses altitudes. Le côté italien, également est caractérisé par de vastes surfaces glaciaires, il est cependant beaucoup plus raide et impressionnant. Le Mont Blanc est un point d'arrivée ambitieux pour les alpinistes du monde entier, l’ascension de ce superbe sommet dispose d'une vue unique sur les Alpes. L'ascension se réalise en général par le Refuge des Cosmiques, ou le Refuge du Gouter. Cette ascension nécessite une bonne préparation physique car il faut compter environ 8 à 10 heures de marche et d'escalade en altitude ; de plus, il est nécessaire d'avoir une bonne expérience dans l'utilisation du piolet et des crampons. Si vous n’avez pas d’expérience de cramponnage et d’alpinisme en altitude, vous devez réaliser avec Esprit Montagne un programme d’entraînement et d’acclimatation avec l’ascension de différents sommets en vue de cette grande ascension par exemple Grand Paradis, Breithorn, Capanna Margherita, etc.. Ce stage n'est pas adapté aux alpinistes débutants, l'ascension du Mont Blanc est une aventure qui doit rester un objectif pour les alpinistes confirmées, qui ont déjà une bonne expérience de la montagne avec plusieurs 4000 mètres aux compteurs. Ce stage d'alpinisme vous permet d'avoir une progression physique et technique optimum pour tenter le sommet le 3ème ou le 4ème jour de stage. En cas de mauvaise météo le 3ème jour, vous pourrez être déroutés sur le Grand Paradis 4061 mètres dans la Vallée d'Aoste ou la Punta Gnifetti 4554 mètres dans le massif du Mont Rose, pour réaliser de beaux sommets à 4000 mètres ou si vous trouvez que vous n'êtes pas assez en forme pour le Mont Blanc. L'itinéraire se déroulera sur la voie normale du Dôme du Goûter, c'est un défi sportif et dans une moindre mesure technique. Ce stage permet une bonne acclimatation à l'altitude pour éviter les problèmes du mal aigu des montagnes œdème pulmonaire ou cérébral .... Nous vous demandons de ne pas prendre de médicaments sans informer votre Guide de Haute Montagne, il vous expliquera les effets de l'altitude sur votre corps. Il aura besoin que vous partagiez avec lui comment vous vous sentez, pour gérer au mieux le stage et vous permettre de gravir le sommet du Mont Blanc. Programme des 4 jours d'Alpinisme pour réaliser le Mont Blanc 1er jour - Lundi Chamonix - Aiguille du Midi - Mont Blanc du Tacul 4248 m - Refuge des Cosmiques 3600 mètres Rendez-vous à 7h00 sur le parking du téléphérique de l'Aiguille du Midi Chamonix, nous vérifions le matériel et nous prendrons le téléphérique jusqu'à l'Aiguille du Midi 3842 m, après avoir mis les crampons et le matériel, nous descendrons la célèbre arête de l'Aiguille du Midi pour arriver au pied du Mont Blanc du Tacul, nous ferons son ascension, c'est un 4000 mètres qui est déjà technique, mais rapidement accessible grâce aux remontées mécaniques. Au sommet nous profiterons de la vue sur le Mont Blanc et sur le Mont Maudit, cette ascension permet de vous acclimater et de voir les conditions de la montagne. Votre Guide aura le temps de vous montrer différentes façons d'encordement et vous apprendre plusieurs techniques et conseils pour que vous vous améliorez techniquement. Nous descendons au refuge des Cosmiques environ 3 600 mètres, où nous dînerons au coucher du soleil, avant de dormir pour notre première nuit en altitude, c'est un endroit magique pour rêver au-dessus de la vallée ! 2 ème jour - Mardi Refuge des Cosmisques 3600 m - Aiguille du Midi 3842 m - Chamonix - Les Houches - Nid D'Aigle 2372 m - Refuge de Tête Rousse 3167 m Après une nuit en altitude dans un superbe univers de haute montagne, nous reprenons le chemin de la vallée, direction le sommet de l'Aiguille du Midi puis la descente en téléphérique, l'arrivée sur Chamonix est rapide. Nous pouvons faire une petite pause à Chamonix, avant de reprendre nos activités et de partir en direction des Houches. Nous prenons une navette pour rejoindre les Houches et prendre le téléphérique de Bellevue, puis le Tramway du Mont Blanc pour accéder au Nid d'Aigle. Nous voilà au départ de la voie normale du Mont Blanc. Après une courte montée au refuge de Tête Rousse, nous posons nos affaires et observons la montagne pour décider avec le guide de l'horaire de départ pour le lendemain. Nous passons la fin d'après-midi à nous reposer et manger, demain le départ se fera très tôt. Un autre guide nous rejoint pour l'ascension du lendemain, pour maximiser les chances de réussite et augmenter la sécurité du groupe. 3 ème jour - Mercredi Refuge de Tête Rousse 3167 m - Aiguille du Gouter - Dôme du Gouter - Mont Blanc 4810 m - Refuge du Gouter 3835 m Nous partons très tôt en début de nuit, pour débuter la journée par le couloir du Gouter, il est normalement gelé ce qui limite les chutes de pierres. La montée est rapide grâce à l'adaptation de votre corps à l'altitude nous sommes au-dessus de 3000 mètres d'altitude depuis bientôt 48 h. Nous arrivons au refuge du Gouter les Alpinistes qui ont dormi à plus de 3800 mètres sorte du refuge et nous partons tous pour le sommet. Normalement nous avons pu mieux nous reposer à 3200 mètres et nous marchons bien pour rejoindre le Dôme du Gouter puis les bosses du Mont Blanc et enfin le Sommet ! La vue est superbe au sommet et nous profitons de la vue du toit de l'Europe, puis vient le temps de la descente. Après cette longue montée nous faisons une courte descente et dormons au refuge du Gouter. Nous profitons de la vue exceptionnelle qui s'offre à nous pour notre dernière nuit en altitude, c’est la plus haute à plus de 3800 mètres. 4 ème jour - Jeudi Refuge du Gouter 3835 m - Descente de l'Aiguille du Gouter - Refuge de Tête Rousse 3167 m - Nid d'Aigle 2372 m - Les Houches - Chamonix La nuit permet le regel du couloir du Gouter, nous descendrons avec les premières lueurs du jour dans la face nord, rapidement nous gagnerons le refuge de Tête Rousse avant que ne reprennent les chutes de pierres. Nous descendons ensuite par le chemin que nous avions pris 48 h auparavant pour rejoindre les Houches, puis Chamonix pour profiter de la capitale de l'alpinisme et de la vue sur le sommet du Mont Blanc ! Fin du stage d'alpinisme, à bientôt pour de nouveaux sommets ! Arrivée Fin Prix * Statut Du 24/09/2022 au 27/09/2022 au 27/09/2022 693 € COMPLET * Tarifs TTC par personne hors assurance Dates disponibles sur demande. Tarif de l'ascension du Mont Blanc en 4 jours une personne 2950 € ; deux personnes 1980 € par personne. Equipement nécessaire à l'Ascension du Mont Blanc Le Mont Blanc est une petite expédition, c'est un sommet difficile qui ne doit pas être pris à la légère, l'ascension n'est possible que par beau temps avec peu de vent, à près de 5000 mètres d'altitude le temps peut changer extrêmement vite malgré une bonne prévision météo. Vous devez donc avoir tout le matériel de la liste ! MATERIEL TECHNIQUE chaussures d'alpinisme en Goretex et de très bonne qualité, cramponables crampons et piolet baudrier sac à dos de 40 litres bâtons de marche casque d'alpinisme des mousquetons Spécial Covid 19 une paire de chaussures légères pour le refuge ou trails légères un sac de couchage pour le refuge une taie d'oreiller ou coussin gonflable léger pour le refuge du gel hydroalcolique et masques COMMENT S'HABILLER pour le Mont Blanc Première couche sur la peau - sous-vêtements tee-shirt thermique et respirant mérinos conseillé collant thermique et respirant mérinos conseillé chaussettes chaudes. Deuxième couche polaire technique chaude et respirante; pantalons d'alpinisme coupe-vent et imperméables Troisième couche duvet fin mais chaud Dernière couche veste Goretex de qualité ou similaire, imperméable et coupe-vent Ne pas oublier bonnet d’hiver chaud tour de cou deux paires de gants d'hiver chauds ou moufles lampe frontale crème solaire lunettes de soleil et masque de ski en cas de tempête caméra votre téléphone portable votre trousse à pharmacie avec du paracétamol et vos médicaments personnel Difficulté de l'ascension du Mont Blanc Niveau re?quis Long parcours glaciaire et rocheux qui nécessite un très bon entraînement, un très bon niveau technique et une bonne capacité de concentration. Certaines courtes sections sont raides 50 °, parfois glacées et nécessitent une bonne maîtrise de l’utilisation du piolet et des crampons. Enfin, une bonne adaptation à la haute altitude est également nécessaire. Certaines personnes n'arrivent pas à s'acclimater malgré les paliers réalisés pour s'adapter. Il faut avoir déjà réalisé des sommets à 4000 mètres une ou deux semaines avant le Mont Blanc et que l'ascension a été réalisée facilement sans problème d'acclimatation. Nous avons conçu ce stage avec une journée et une nuit d’acclimatation au début, pour vous permettre une progression en haute montagne optimale. Informations utiles pour la préparation à l'ascension du Mont Blanc Assurance Une assurance annulation et rapatriement vous est conseillée ainsi qu’une autre assurance garantissant la recherche et le sauvetage en montagne euros de garantie environ. Comment rejoindre Chamonix Via Genève ou autre aéroport Français vous pouvez facilement rejoindre Chamonix en train depuis les principaux aéroports français ou l'aéroport de Genève ; Via le réseau ferroviaire Français jusqu'à la gare de Chamonix. Si vous le souhaitez, nous pouvons vous organiser un taxi pour vos déplacements depuis l’aéroport n’hésitez pas à demander des renseignements lors de votre réservation. Entrainement comment se préparer à l’ascension du Mont Blanc ? Pratiquez régulièrement une activité physique et d’endurance tout au long de l’année ; Entrainement spécifique entrainez vous en montagne, sur des courses avec dénivelés progressifs 500 m ; 1000 m ; 1500 m, quelques mois avant la date de votre départ ; vous devez être capable de supporter un dénivelé positif et négatif de 1500 m, sans trop fatiguer. Rappelez-vous que le poids de votre sac et l’altitude ont un effet sur votre forme habituelle ne surestimez pas vos capacités et entrainez-vous pour optimiser vos chances de réussite et bien profiter de votre ascension au 4000 plus haut d'Europe ! Encadrement 2 personnes par guide pendant les 4 jours, afin d’optimiser vos chances de réussite. Si le groupe n'atteint pas le sommet pour des raisons différentes mauvais temps, mauvaises conditions de la montagne, fatigue ou malaise d'un des participants..., aucun remboursement ou indemnisation n'est prévu. Vérifiez nos Termes et Conditions.

Présentationdu séjour Vivez l'aventure et gravissez le sommet du toit de l'Europe, le Mont-Blanc à 4807 mètres d'altitude. Votre guide vous accompagnera et vous assurera le maximum de

Je vous propose quelques programmes souvent classiques, mais j'aime beaucoup découvrir et fréquenter des secteurs moins parcourus. Bien des montagnes oubliées méritent une visite, n'hésitez donc pas à me demander. Dômes de Miage bassin de Tré-la-Tête Des sommets sauvages dans un secteur préservé Juin-juillet Les Dômes de Miage trônent au sud-est du massif du Mont-Blanc, bien en vue depuis Sallanches. Ces 5 sommets, presque tous à la même altitude, attirent les alpinistes aimant les lieux restés sauvages qu'on n'atteint pas sans prendre le temps d'un effort prolongé. Le refuge des Conscrits qui permet de séjourner avant l'ascension est à la hauteur de cette belle ascension et de ce magnifique secteur, avec un super accueil et un confort tout à fait correct. Lire la suite Dômes de Miage bassin de Tré-la-Tête Ascension des 4000 du Mont-Rose Un secteur riche en 4000 Un raid classique Juin-Septembre Le Mont-Rose un massif à part entière, caractérisé par de grandes étendues glaciaires, abordables, mais aussi des faces spectaculaires, comme sur le versant Macugnaga Mont-Rose, ou versant nord du Lyskamm. De fait l'alpiniste de tout niveau y trouve son compte, d'autant que tous les sommets dépassent 4000 m. Lire la suite Ascension des 4000 du Mont-Rose Mont-Blanc avec un guide Le top 4810 recherché Juin-Septembre Le Mont-Blanc, pourquoi faire ?Avant d'entreprendre l'ascension du Mont-Blanc il est nécessaire de bien analyser ce qui vous motive dans ce projet. Lorsque vous foulerez le toit de l'Europe occidentale vous dominerez physiquement un espace fragile, où les stigmates de notre pratique, de nos routines sont bien visibles et impactent directement le le Mont-Blanc peut - doit ? - être l'occasion de comprendre où se placent nos pratiques dans cet espace, quelles sont nos réelles motivations dans le but si possible de mieux se connaitre et d'évoluer positivement. Lire la suite Mont-Blanc avec un guide Miage Bionnassay Mont-Blanc Une chevauchée logique et technique, incontournable Juin-juillet La grande traversée Miage Bionnassay Mont-Blanc, c'est l'une des plus belles chevauchée d'arêtes que l'on puisse imaginer dans le massif imaginez une ligne parfaite reliant l'aiguille de la Bérangère, l'un des premiers sommets à l'ouest du massif, au Mont-Blanc, puis à l'aiguille du Midi. On réalise alors un périple extraordinaire où les vues sont fantastiques sur le versant Miage du Mont-Blanc, sauvage et désert, contrastant avec la vallée de l'Arve à l'opposé, qui paraît toute au long de cette aventure réservée aux alpinistes expérimentés, nous franchirons des arêtes d'abord assez arrondies sur les premiers Dômes de Miages, puis plus techniques et rocheuses avant de rejoindre le bivouac Durier, enfin fines et cornichées pour traverser la fameuse aiguille de Bionnassay. Plus de gros problèmes techniques ensuite sur la traversée du Mont-Blanc, mais il faut une très bonne endurance car la journée est longue et l'altitude se fait finir le lendemain, nous remonterons la courte mais intéressante arête des Cosmiques, pour rejoindre Chamonix par les remontées mécaniques. Lire la suite Miage Bionnassay Mont-Blanc Pointe Dufour 4634 m Juillet-Septembre Un stage adapté pour cet autre géant des Alpes Juillet-Août Ce stage de 5 jours propose, après l'acclimatation sur des sommets proches ou dépassant 4000 m de tenter l'ascension du 2ème sommet des Alpes, le Mont-Rose Pointe Dufour - 4634 m. L'accommodation à l'altitude sera optimale, avec 2 nuits préalables à 3480 m, au refuge des guides du Cervin, et l'ascension de 2 sommets de plus de 4000 m, le Pollux et le Breithorn. Si vous connaissez déjà ces sommets je vous proposerai d'autres solutions pour votre préparation sur des sommets de la vallée de Saas Fee, voire dans le massif du séjour sportif propose des refuges de haute-montagne assez confortables à la vue exceptionnelle, il s'adresse à des très bons marcheurs et peut constituer une bonne alternative aux alpinistes connaissant déjà ou voulant éviter le Mont-Blanc et sa voie normale surfréquentée. Lire la suite Pointe Dufour 4634 m Juillet-Septembre Sommets et traversée de l'Oberland Les plus grands glaciers des Alpes Des 4000 majeurs Juin à Août L'Oberland concentre certains des plus grands glaciers des Alpes, et compte un grand nombre de sommets d'altitude très respectable avec son lot de sommets de 4000, parfois éloignés et peu fréquentés. Ceux qui préfèrent la randonnée glaciaire traverseront avec bonheur l'Oberland en quelques jours, raid glaciaire qui n'a rien à envier à son homonyme bien connu Chamonix-Zermatt. Lire la suite Sommets et traversée de l'Oberland Ecoles de glace écoles de rocher S'initier aux techniques d'alpinisme et d'escalade naturelleConnaitre et respecter le milieu naturel de la montagne Le public des ados et des plus jeunes est souvent très intéressé par la découverte d'activités de montagne. Il me paraît important de pouvoir proposer à ce public un maximum d'activités pour transmettre au mieux ce que ce milieu a pu m'apporter de les adultes amoureux de nature, il s'agit de découvrir ou redécouvrir ce milieu fragile et certaines falaises ou zones glaciaires accessibles à la journée sont des endroits bien adaptés aux personnes de tout âge souhaitant accéder à l'autonomie, réviser et pratiquer les techniques de manière ludique. Lire la suite Ecoles de glace écoles de rocher

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  • ascension du mont blanc avec guide tarif